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J7 et J8_Dijon - OM et OM - Rennes J7 et J8_Dijon - OM et OM - Rennes J7 et J8_Dijon - OM et OM - Rennes

J7 et J8_Dijon - OM et OM - Rennes

Dijon 0-0 OM et OM 1-1 Rennes

Une semaine décevante avec ces deux matches nuls…

La semaine a débuté mardi par un déplacement en Bourgogne à Dijon pour un match programmé à 19h, en pleine semaine. Malgré cela, c’est un bus plein qui part du local tôt le matin avec cinquante Gremlins motivés à bord, pas encore bien réveillés pour certains, mais bien déterminés à faire exploser le stade Gaston-Gérard.
Toujours bien accueillis à Dijon, une partie de l’après midi se passe dans les bars du centre ville en attendant l’heure d’aller au stade. A l’ouverture des portes, la pluie commence à tomber mais le parcage visiteurs se remplit vite et les chants se font entendre dés l’entrée des joueurs sur la pelouse. Mais les joueurs de la lanterne rouge du championnat ont décidé de tout donner et font tout ce qu’ils peuvent pour ne pas encaisser de but, et ont même fait douter par moment l’équipe Olympienne. Heureusement on a pu compter sur une grosse défense avec le jeune Marseillais Lucas Perrin qui a saisi sa chance et montré toutes ses qualités.
Le résultat final est un match nul, l’OM repart avec un seul point de Côte d’Or, et c’est une grosse déception pour tout le monde. Certains seraient même en droit de dire que finalement nous nous en sortons pas si mal… ce match l’année dernière nous l’aurions probablement perdu !

Retour à Marseille au milieu de la nuit, et dès le mercredi se met en place l’organisation du tifo pour OM-Rennes. Il est alors décidé de faire un tifo commun avec les Ultras pour rendre hommage à Gunnar Andersson, avant-centre suédois et meilleur buteur de l’histoire de l’OM, disparu tragiquement il y a cinquante ans en remontant la rue Breteuil.
Une fois la maquette réalisée, on compte plus de 12000 feuilles de couleurs (bleues, jaunes, blanches et noires) qu’il faut rouler en deux jours. Le travail est réparti entre les deux groupes (SW87 et CU84) et tout est prêt pour être installé le dimanche matin.

A l’entrée des joueurs sur le terrain le Virage Sud est bouillant… le Vélodrome n’est que relativement rempli, mais les présents se font entendre, comme toujours.
Le tifo est déployé dans tout le Virage Sud, et les chants fusent, l’ambiance est là. Mais la copie rendue par les joueurs au cours de cette première période est affligeante, et certains joueurs s’enfoncent un peu plus dans la médiocrité qui les caractérisent… les rennais, bien organisés défensivement et dangereux en contre-attaque, mènent logiquement avec un but d’avance à la pause.
Au retour des vestiaires, on sent une équipe déterminée à revenir au score. C’est chose faite à la 52e minute avec Caleta-Car qui reprend victorieusement de la tête un corner tiré par Bouna Sarr. Le Virage explose, le match se débride enfin et les Olympiens sont bien mieux organisés et déterminés. Toute la seconde période est en faveur de l’OM, malgré quelques contres dangereux des bretons, mais les Olympiens sont peu inspirés en attaque, à l’image de Pipa Benedetto qui frappe de loin en oubliant deux fois ses partenaires mieux placés ou en ne cadrant pas.
Mandanda préserve le score de parité avec une double parade exceptionnelle à la 86e minute de jeu. Le capitaine réalise un nouvel exploit que le Virage a su honoré à sa juste valeur !

Le résultat est donc un nouveau match nul à domicile après celui concédé face à Montpellier, le troisième en autant de match, soit trois points obtenus sur les neuf possible. L’OM laisse filer des points, c’est un bilan très mitigé et décevant, mais il faut parfois savoir ne pas perdre.

Petit retour en arrière sur la soirée du mercredi, au lendemain du match de Dijon.
Comme attendu, la Ligue, par le biais de sa commission de discipline, a, une fois encore, montré toute sa bêtise profonde, sa partialité et son mépris à l’encontre des joueurs de l’Olympique de Marseille et de ses supporters.
Les membres de cette commission de corrompus ont donc infligé deux matches de suspension à Bouba Kamara, quatre matches à Dimitri Payet et même réussi le prodige de sanctionner les supporters de l’OM en ordonnant la fermeture du parcage visiteur à Amiens pour leur comportement durant le déplacement à Monaco, en leur reprochant des chants homophobes… Une aberration doublée d’une injustice évidente qui montre toute la déférence et le mépris qu’entretient cette sphère parisienne contre Marseille, son club, ses joueurs et ses supporters.
Il est temps pour la LFP de cesser de se cacher derrière des prétextes homophobes pour sanctionner aveuglement le supportérisme, quand la corruption est pratique courante et légitime dans les instances dirigeantes du football national, européen et mondial !

RIEN N’ARRÊTERA LA RAGE MARSEILLAISE ! L’OM C’EST NOUS !

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